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épisode 12: Orochimaru
27/05/2007 14:34
Kakashi et Kurenai étaient embêtés, Keiko c’était fait enlever par les hommes d’Orochimaru: - Je savais que ça arriverait, mais je pensais pas qu’il enverrait ses hommes maintenant!, dit Kakashi. - Tu le savais et tu as laissé Keiko sans surveillance!, cria Nezumi. Kurenai aussi trouvait ça bizarre que Kakashi est eu cette intuition et qu’il n’est rien fait: - Faut prévenir Tsunade pour qu’elle fasse quelque chose!, s’exclama Nezumi toujours furieuse contre son père! - Calmes-toi, Nezumi, dit Kakashi. - Non! - Calmez-vous tout les deux, ordonna Kurenai, et allons prévenir Tsunade. Kakashi regarda éberlué, Kurenai, surpris qu’elle donne des ordres, Nezumi aussi était surprise. Ils partirent tout trois chez Tsunade. Chez Orochimaru, Keiko se réveillas quand les hommes qui la tenaient entraient dans une pièce, elle remarqua qu’elle avait les poignet et les chevilles liés et qu‘elle était porté. Quand elle regarda en direction du bureau, elle fut horrifié en voyant, Orochimaru. Quand il la vit, il sourit: - Tu nous fais une petite visite?, dit Orochimaru, comme c’est gentil! Keiko fit une grimace et elle sourit quand, elle vit Kabuto, pas loin, qui avait lui aussi fait une grimace. Kabuto remarqua qu’elle le regardait et se perdit dans ses yeux. Ils se regardaient toujours et ils virent chacun dans les yeux de l’autre de……l’amour. En le remarquant, Orochimaru sourit: - Détachez-la, ordonna-t-il. - Mais, elle risque de s’enfuir, remarqua l’homme qui la portait. - Non, elle ne pourra pas, dit Kabuto, parlant pour la première fois. L’homme déposa Keiko et la détacha, elle faillit tombée mais se rattrapa à temps: - Kabuto, va l’entraîner!, ordonna Orochimaru. - Elle aura du mal, dit Kabuto. - Et pourquoi? - Elle n’a pas encore repris assez de force! - Pourtant elle s’entraînait, quand on est arrivé, dit l’homme qui la portait. - Tsunade a juste dit que je ne devait pas beaucoup m’entraîner, pas que je ne devait pas m’entraîner!, dit Keiko parlant pour la première fois. - Qu’elle fasse se qu’elle peut! Kabuto s’approcha de Keiko: - Suis-moi! Keiko le suivit jusqu’à la salle d’entraînement, il y avait énormément de monde: - Allez-vous en, ordonna Kabuto. Tous, à part un, s’en allèrent, l’homme qui était resté là (un gros caïd) s’approcha. Keiko était surprise, d’une part par l’autorité de Kabuto et de l’autre part que ce mec n’a pas peur de rester: - Et pourquoi on doit partir?, demanda l’homme. - Ordre d’Orochimaru: je dois entraîner Keiko!, répondit Kabuto devant cette homme qui faisait au moins une tête de plus que lui. - Quoi, cette gamine sous les ordres d’Orochimaru?, ria l’homme. Keiko n’avait qu’une envie, c’était de taper ce mec, mais elle se retint: - Ne te moque pas!, dit Kabuto, elle pourrait bien te faire souffrir! Keiko était surprise par ce qu’avait dit Kabuto: - Une gamine me faire souffrir?, dit l’homme, je voudrais bien voir ça! - Pas maintenant, à moins que tu ne voudrais que Orochimaru te coupe la tête… Keiko sourit de cette réplique: - Calme! On dirait que tu l’aimes pour la protéger autant! Kabuto n’aima pas cette réplique et lui mis un coup de poing si violent, dans le ventre, qu’il s’enfuit en courant. Keiko fut surprise qu’il soit si fort: - Ta l’air aussi fort que mon père! Kabuto sourit: - Bon, on commence l’entraînement! - On commence par quoi? - Lancer de kunei! Mais d’abord, dis-moi qu’elle est ta technique la plus forte! - Le chidori!, répondit-elle sans hésité. L’entraînement se fit très vite, Keiko réussit la plupart des exercices: - Maintenant, on va se battre en duel! - Ok! Keiko lui fit plein de technique (sauf le chidori) mais Kabuto les arrêtais ou les évitais toutes. Quant Keiko faisait du taijutsu, Kabuto lui prit les poignets pour lui faire une technique. Keiko se débattit, mais voyant que ça ne faisait rien, elle arrêta de se débattre et leva la tête. Ils se regardèrent droit dans les yeux. Kabuto l’embrassa et se retourna, gêné: - Désolé, dit-il, l’entraînement est fini. Keiko lui prit le bras et le retourna et quand ils furent en face à face, elle l’embrassa: - Désolé, dit-elle en souriant, et bien contente que l’entraînement soit fini! Elle avait parlé en même temps que de fermer sa conscience à sa jumelle. Kabuto la regardait toujours et la trouvait de plus en plus mignonne au fur et à mesure qu’elle rougissait. Quand il sourit, elle comprit pourquoi et lui dit: - Kabuto… - Oui? - Ton regard perçant est…gênant! Kabuto sourit et lui caressa les cheveux, Keiko rougit encore plus et ils s’embrassèrent: - Tu as envi de quelque chose, mais tu as peur que ça me déplaise, dit Keiko, Vas-y, fais-le, n’aie pas peur! Ils s’embrassèrent encore une fois et une main de Kabuto se glissa sous le t-shirt (sur le dos) et l’autre sur les fesses de Keiko. Elle en fut surprise mais ne dit rien. Ils se séparèrent quand Orochimaru arriva: - Kabuto, quel charme, je pourrai t’offrir une nuit avec elle, si tu veux! - Non! On le fera, quand elle voudra et quand elle sera prête! - Eh bah, pas moi, dit Orochimaru en rigolant, Kabuto va la mettre dans la salle 421! Keiko comprit et fit une grimace de dégoût car elle ne voulait pas d’une laideur comme lui: - Non, ne lui faîtes pas ça!, dit Kabuto, elle est trop jeune. - Si tu ne veux pas l’emmener, je vais demander à des gardes de le faire et tu sais très bien à quel point, ils sont pervers! - Je suis désolé, dit Kabuto à Keiko, viens avec moi! Keiko suivit Kabuto dans les sous-sols et ils passèrent dans une prison remplie de femmes: - C’est la prison des femmes, expliqua Kabuto, là où il enferme les femmes qui lui plait et qui ne sont pas fortes. - Ils profitent des faibles!, s’exclama Keiko. - Certaine de celle qui sont là l’aime, répondit Kabuto. Ils arrivèrent à la salle 421(il n’y avait qu’une table) et Orochimaru arriva, pas longtemps après: - Kabuto, tu peux sortir, dit-il. Kabuto sortit après avoir caressé la joue de Keiko. Orochimaru s’approcha et lui caressa la joue: - Tu es très douce et je suis sur que tu es aussi bonne! Déshabille-toi! - Non! - Dans ce cas la, je vais envoyer des hommes tuer Kiba ou….alors un membre de ta famille, peut-être ta sœur! Keiko grommela mais se déshabilla quand même: - Tu es aussi belle que douce! Keiko grommela pendant qu’Orochimaru se déshabillait et que sa main se promenait sur son corps. Orochimaru attacha Keiko à la table et commença. Il s’amusait comme un petit fou. Ses mains se baladaient sur le corps de Keiko: - Pour la première fois, je vais y aller doucement, dit-il. Il enfonça sa grosse bite, très violement et cette douleur arracha un cri à Keiko. Deux heures passèrent comme ça, Keiko criait et Orochimaru riait. Quand il eu finit, il se rhabilla et détacha Keiko qui se rhabilla en vitesse. Kabuto, qui s’était tenu très loin, pour ne pas entendre les cris de Keiko, arriva quand Orochimaru le demanda: - Kabuto, il est tard, dit-il, conduis-la dans une chambre! Ah, j’oubliais tu peux t’amuser, ce soir avec elle, si tu veux! Keiko suivit Kabuto qui sortait et arrivé à la chambre, il n’osait toujours pas regarder Keiko: - Kabuto? Qu’est-ce qu’il y a? - J’ai honte! Je n’ai même pas pu te protéger de lui… Je ne suis pas digne de toi… -…tu n’as pas à avoir honte… -… - Ce n’est pas de ta faute et tu ne pouvais rien y faire! - Mais quand même… Keiko l’embrassa pour qu’il arrête de gémir, il en fut surpris: - Tu veux toujours de moi? - Bien sur que oui! Ils s’embrassèrent: - ….et …Kiba? - Laisse tomber, ne pense pas à lui! Keiko alla se coucher mais Kabuto ne pouvait pas partir: - Kabuto, si tu ne veux pas partir, reste ici! - Hein? - Viens à côté de moi, y’a de la place pour deux! - Tu veux bien? - Bien sur, si je te le propose! Kabuto la rejoignit et ils s’amusèrent toute la nuit. Le lendemain matin, ils se réveillèrent et décidèrent d’aller s’entraîner. Keiko était presque rétablie et ils s’entraînèrent à fond. L’emploie du temps était souvent le même: entraînement, quelques missions, violement par Orochimaru (des fois)et la nuit avec Kabuto. Plusieurs jours après, Keiko savait sortir sa marque à volonté et pendant qu’ils s’entraînaient, Orochimaru arriva suivit de Sasuke: - C’est toujours mauvais signe, quand il arrive!, murmura Keiko à Kabuto. - Keiko, tu vas te battre avec Sasuke, ordonna Orochimaru. Kabuto et lui montèrent à l’étage dans une pièce qui permettait de voir toute la salle d’entraînement. Sasuke se mit en face de Keiko: - Ça va être facile, se moqua Sasuke. - C’est-ce qu’on va voir, répondit Keiko. Ils se mirent en position de combat. Ils s’envoyaient des kunei mais voyant que ça n’avait pas d’effet, ils se firent des techniques. Une heure plus tard, Keiko s’écroulât, accroupie, elle n’en pouvait plus: - C’est tout ce que tu vaut?, se moqua Sasuke, la famille Hatake ne vaut rien! La marque de Keiko sortit en un éclair: - Je ne permets pas qu’on se moque de ma famille! Elle se leva et courut vers Sasuke et lui mit un coup de poing au ventre. Le combat ensuite se fit plus rapide grâce aux marques mais il réussi encore une fois à mettre Keiko à terre: - La famille Hatake, c’est vraiment de la merde! Ta jumelle comme ton père ne valent pas mieux que toi! Ces deux phrase ne plut pas du tout à Keiko et le stade deux de la marque sortit (une apparence de tigre mais elle avait des ailes d’anges en plus). Elle courut vers Sasuke et une fumée qu ‘elle connaissait bien mais qu’elle avait oublié, apparut. La fumé disparut et tout le monde vit Kakashi prendre le bras (ou plutôt la patte) de Keiko et disparaître avec elle. Ils apparurent devant le bureau de Tsunade. Quand Keiko vit ou Kakashi l’avait emmené et ne voulait toujours pas la lâché, elle mordit violement son bras. Kakashi sursauta en sentant ses crocs: - Kakashi, tu devrais la lâcher!, dit Tsunade en souriant. - C’est elle qui me tient, répondit-il, en souriant, Keiko, lâche-moi! Keiko fit la sourde oreille et continua à le mordre. Kakashi souleva sa mâchoire, Keiko lâcha prise et cracha du sang: - Ton sang est dégueulasse!, dit-elle. Après avoir dit cette phrase, son apparence de tigre-ailé disparut et elle s’évanouit en tombant dans les bras de son père. Kakashi et Tsunade furent surpris de la voir s’évanouir comme ça: - J’ai interrompu un combat entre elle et Sasuke!, justifia Kakashi. - Emmène-la à l’hôpital, ordonna Tsunade, je vais venir! Kakashi se téléporta et Tsunade, envoya un homme prévenir, Nezumi et Kurenai, que Keiko était là, avant de partir en courant à l’hôpital. Nezumi et Kurenai arrivèrent en courant et virent Kakashi debout et son regard regardait la porte, elles se doutèrent que Keiko était dedans: - Elle commence à m’ouvrir sa conscience, dit Nesumi comme pour signaler leur présence! Kakashi se retourna et Kurenai s’approcha pour l’embrasser et lui redonner confiance: - Elle s’est évanouie, expliqua Kakashi, après m’avoir mordu! - C’est elle qui a fait ça?, demanda Nezumi en montrant le bras de Kakashi. Kakashi ne répondit pas: - Je savais qu’elle avait des canines comme celles des chiens mais la, ça les dépasse largement!, dit Kurenai en soignant la bras de Kakashi. - Ce sont des crocs de tigres!,s’exclama Nezumi. - Quoi?, s’exclama Kurenai en se retournant. - C’est le stade deux de la marque, expliqua Kakashi, elle se transforme en tigre-ailé! Kurenai était déjà outré qu’on puisse morde son père comme ça mais là ça dépassait les bornes! Tsunade sortit un peu plus tard: - Il n’y a rien de grave, expliqua-t-elle, juste quelques blessures et surtout une grosse fatigue! - On peut la voir?, demanda Nezumi. - Oui!, répondit Tsunade, les docteurs vont la mettre dans une chambre! Quelques minutes plus tard, ils retrouvèrent tous dans la chambre de Keiko (sauf Tsunade). En se réveillant, elle sentit tous les regards sur elle. Nezumi lui sauta au cou: - Tu m’as manqué, sœurette!, s’exclama-t-elle. - Nezumi, tu l’étrangle, dit Kakashi en souriant de cette amour qu’elle partage l’une pour l’autre. - Désolé, dit Nezumi en lâchant Keiko, pourquoi t’as fermé ta conscience? Keiko ne répondait à aucune question que sa sœur posait: - Putain, tu réponds! - Calmes-toi, dit Kakashi qui n’aimait pas les gros mots, si elle ne réponds pas, elle a forcément une raison! Keiko tourna la tête vers Kakashi et il put voir dans ses yeux de la tristesse et il savait très bien qu’il y avait autre chose avec. Il comprit qu’il c’était passé quelque chose: - On devrait ne pas lui poser de question, dit-il, elle nous le dira quand elle sera prête! - Non, s’exclama Nezumi, je veux savoir ce que ce salop lui a fait! Kakashi se leva et était prêt à lui mettre une claque: - Non, dit Keiko, ne lui met pas de baffe! Kakashi se rassit: - Dis-moi, pourquoi… - Ce n’est pas la peine! Tsunade arriva: - Tu pourra sortir quand tu veux! - Vraiment?, s’exclama Nezumi, tu sort maintenant, hein? Keiko haussa les épaules: - Je ne suis pas pressé… Nezumi lui sauta dessus: - Tu vas sortir, compris? Kakashi la prit par le col et lui mit une claque: - Calmes-toi, ordonna-t-il, elle sortira quand elle voudra! - Elle pourrait sortir maintenant, proposa Kurenai, tu sera mieux protégé à la maison! Keiko haussa les épaules mais s’assit, quand même. Tsunade s’en alla, Kakashi se détourna après avoir lâché Nezumi et Keiko s’habilla. Plusieurs minutes plus tard, ils étaient déjà chez eux, Kurenai faisait la cuisine (ou plutôt essayait car Kakashi l’emmerdait), Nezumi bombardait Keiko de questions mais elle n’y répondait jamais, elle avait presque entièrement ouvert sa conscience à sa sœur: - Je serais ce que tu cache et la tu ne pourra rien y faire, dit Nezumi. Cette phrase eu un déclic chez Keiko car elle ressemblait au phrase que Orochimaru disait quand il allait la violer. Elle eu aussi un déclic dans sa conscience et l’ouvrit un petit instant, mais se fut assez pour Nezumi, pour comprendre que c’était sur le sexe. Elle se leva d’un bond et courut dans la cuisine, Keiko à sa suite: - Nezumi, ne dit rien, je t’en supplie! - Il le faut bien, c’est pour ton bien! Keiko lui sauta dessus pour qu’elle se taise, Kakashi arriva et les sépara: - Qu’est-ce qu’il y a?, demanda-t-il. - Elle… - Ta gueule!, cria Keiko. Kakashi pinça (très fort) le cou de Keiko: - Pas de gros mots! - Il c’est passé quelque chose sur le sexe, lâcha Nezumi dans un soupir, chez Orochimaru! Keiko mit un poing à Nezumi: - Keiko, calmes-toi! Il n’avait pas besoin de la confirmation car le coup de poing le confirmait. Keiko sortit, elle était en colère après sa sœur! Nezumi voulu la rejoindre mais Kakashi la retenu: - Laisse-la! - Mais… - Y’a pas de mais…en plus si tu veux te faire tuer… Kakashi qui était au courant de beaucoup de choses était au courant de ce qui c’était passé. Keiko ruminait sur son arbre et Kakashi la rejoignit: - Je sais… - Hein?, demanda Keiko en levant brusquement la tête. - Je sais ce qui c’est passé… -…et comment… - Je sais beaucoup de choses sur Orochimaru et quand ta sœur l’a dit, j’ai tout de suite compris! Keiko était très surprise et ne savait pas si elle était soulagé ou pas. Kakashi s’accroupit: - Tu sais ce genre de chose, il faut en parler, même si on veut absolument le garder pour soi… Il la prit dans ses bras et elle se mit à pleurer. Quelques minutes plus tard, elle se calma et se sentit soulagée: - Ça va mieux?, demanda Kakashi. - Oui! - Alors, on peut rentrer? Keiko hocha la tête: - Avant qu’on n’y aille, je veux être sur que tu as compris que tu peux me parler, ou à Kurenai, de tout! Keiko hocha la tête et il sourit. Ils rentrèrent, Keiko avait à nouveau le sourire. Elle oublia qu’elle avait ouvert sa conscience presque entièrement. En rentrant, Nezumi lui sauta dessus, elle tomba à la renverse: - Comment as-tu pu me cacher ça?, cria-t-elle. Keiko perdit son sourire et comprenant qu’elle avait ouvert presque entièrement sa conscience. Nezumi lui mit des coups de poings mais Kakashi la prit par le col et l’envoya à l’autre bout de la pièce, il aida ensuite Keiko à se relever. Nezumi revint à la charge mais Kakashi se mit devant Keiko et arrêta d’une main Nezumi. Keiko était surprise: - Ça suffit, ordonna Kakashi, ce n’est pas sa faute! Nezumi était assis par terre et écoutait à moitié et se releva et alla dans le salon, elle faisait la gueule à Keiko. Kurenai arriva, elle était déjà sortit de la cuisine mais elle avait regardé hébété les coups que Kakashi avait donné à Nezumi. Kakashi s’approcha d’elle et l’embrassa, pour oublier qu’il avait tapé sa fille et aussi pour que Kurenai n’est plus ce visage hébété. Keiko s’approcha: - Elle me fait la gueule, lâcha Keiko. Kakashi se sépara de Kurenai et caressa les cheveux de Keiko. Ce geste lui rappela Kabuto, et lui, il lui fit penser à Kiba et qu’elle l’avait trompé. Quelqu’un frappa à la porte, Keiko alla ouvrir et elle vit Kiba. En la voyant, il l’embrassa, elle en fut surprise et ne répondit pas à son baiser, il s’arrêta: - Qu’est-ce qu’il y a?, demanda-t-il. -…J…je… Kiba était surpris, il ne l’avait jamais vu comme ça: - Ça va?, demanda-t-il. - Je… - Elle a eu quelque petit problème, dit Kakashi. - Je savais pas qu’être kidnappé, ça faisait ça! Il c’est passé quoi là-bas? -…Je… - Tu m’as trompé, c’est ça? Keiko leva la tête et……s’enfuit en courant, en renversant au passage Kiba. Kakashi l’aida à se relever et Kurenai arriva: - Kiba, ça va? Je n’ai jamais vu Keiko dans cet état! - Moi non plus!, dit Kakashi, je vais la voir! - Elle pleure, dit Nezumi en sortant du salon un sourire aux lèvres. Elle sortit rejoindre Naruto. Kakashi se téléporta devant Keiko mais cette fois elle n’était pas sur son arbre et elle pleurait, il s’accroupit: - Keiko! - Non, laisse-moi… Il la prit dans ses bras, elle se laissa faire. Après que ses larmes se soit calmées, il la lâcha: - Avec ta fuite, Kiba se pose des questions, y’a pas que lui d’ailleurs! -… - Il c’est passé quelque chose et cette fois ce n’est pas contre ton gré…n’est-ce pas? Keiko hocha la tête: - Ce n’est pas sur Orochimaru… - Kabuto? Elle hocha encore une fois la tête: - Ne me dit pas que…. -… Elle regardait par terre, elle se leva: - Kiba va vouloir des explications! Elle se téléporta et Kakashi fit la même chose, ils se retrouvèrent presque en même temps à la maison. Keiko se dirigea vers Kiba et Kakashi vers Kurenai, en la voyant Kiba se leva: - il faudrait qu’on… -…parle? Ok! - V…viens! Kiba l’emmena dans la forêt, ils s’assirent sur une souche, Kiba tremblait mais prit son courage à deux mains et demanda: - Pourquoi, t’es tu enfuie tout à l’heure? Keiko lui expliqua ce qui c’était passé chez Orochimaru mais décida de ne rien dire au sujet de Kabuto et elle: - Il a osé? Je vais le tuer! - Calmes-toi, je t’en supplie! Elle avait parlé d’une voix implorante et Kiba la regarda bizarrement car il ne l’avait jamais vu comme ça. Le regard de Kiba la fit rire et il sourit: - Ça faisait longtemps que je n’avais pas entendu ton rire, si merveilleux! Ils s’embrassèrent et Nezumi, accompagné de Naruto, arriva: - Tien la traître!, dit-elle. Kiba se leva d’un bond: - Ne dit pas ça! - Et pourquoi? - Ce n’est pas sa faute! Nezumi se mit à rire et quand elle se calma, ses yeux montrait de la colère: - Laisse-moi rire, même-toi, elle ta trahi! Kiba se mit très en colère et lui sauta dessus. Nezumi tomba à la renverse et ils se battirent. Keiko et Naruto ne pouvaient rien faire, à chaque fois qu’ils voulaient intervenir, l’un des deux les éjectaient. Kakashi et Kurenai apparurent, ils virent Keiko avec quelques blessures et Naruto, assis contre un arbre presque évanoui. Kurenai fut la première à voir où combattaient, Kiba et Nezumi. Elle courut vers eux et voulu les séparer mais Nezumi l’envoya valser et elle fut rattrapée par Kakashi. Kiba s’arrêta de combattre, pour voir comment elle allait et Nezumi en profita pour lui foncer dessus. Keiko, qui avait vu sa manœuvre, se mis devant Kiba et se prit les coups à la place de Kiba. Kakashi intervint en arrêtant le pied de Nezumi et l’éjecta. Keiko crachait du sang et n’avait pas pu se défendre car Yamaneku était sortit! Kiba soutint Keiko, pour qu’elle ne tombe pas et palpa, là où Nezumi avait le plus tapé. A un moment, il descendit un peu du ventre et Keiko sursauta mais se laissa faire quand Kiba souleva le t-shirt et la pansa*. Kurenai regardait cette scène et trouva merveilleux cette tendresse et cet amour qu’ils se partageaient. Kakashi le remarqua et lui dit en souriant: - Si tu étais blessée, je te ferais pareille, mais tu ne l’es jamais. Kurenai sourit et l’embrassa: - Mon Kakishounet… Keiko sourit mais son sourire disparut à la pensé qu’elle avait eu (pouvoir faire pareille avec Kabuto). - Qu’est-ce qu’il y a?, demanda Kiba. - Hein? Euh…rien, répondit Keiko qui était blanche. - Keiko t’es sur? T’es toute blanche? Keiko était de plus en plus blanche et Kakashi s’approcha: - Tu devrais rentrer, je ramènerais Nezumi, dit-il. Keiko hocha la tête et commença à disparaître quand Kiba lui prit le bras, la retourna et l’embrassa. Elle en fut plus blanche et disparut. Kakashi, qui transportait Nezumi, et Kurenai s’était déjà téléportés (ou plutôt Kakashi les a téléportés). Quand Keiko apparut Kurenai approcha et la prit dans ses bras: - Ça va?, demanda-t-elle. - Oui, oui…, répondit Keiko. - Kakashi m’a tout raconté alors si c’est au sujet de Kabuto…, commença-t-elle. - Quoi?, coupa Keiko en criant, il t’a tout dit? Kurenai hocha la tête mais elle savait qu’elle avait fait une erreur et qu’elle devait la réparée: - Calmes-toi, ce n’est rien… Elle serrait encore plus fort Keiko: - Maman, lâche-moi! En entendant ce mot « maman », elle la lâcha. Keiko se dirigea vers la chambre de Kakashi et ouvrit la porte. En entrant, elle vit Kakashi à poil, il se retourna (après s’être habillé en quatrième vitesse): - Comment, as-tu pu, dit-il dans une colère rouge. - Je…je…, répondit Keiko dont sa propre colère avait disparu. Kakashi était rouge de colère et il criait en s’approchant: - Tu ne sait pas frapper? -… Kakashi la baffa si fort, qu’il l’envoya voler devant Kurenai: - Keiko? Qu’est-ce qui t’arrive?, demanda Kurenai en regardant la marque qui devenait de plus en plus rouge. Kakashi arriva et elle vit son visage rouge de colère, elle s’interposa entre Keiko, qui était assis par terre, sonné, et Kakashi: - Calmes-toi!, supplia Kurenai, ce n’est pas en tapant qu’on règle les problèmes.+ - Celui-la, si! - Mais, qu’est-ce qui c’est passé? - Elle m’a vu à…poil! Kurenai en fut surpris et se retourna mais n’eut pas le temps de dire quoique ce soit, que Kakashi la poussa. Il baffa plusieurs fois Keiko et Kurenai partit en courant chez Tsunade. Keiko, elle, ses joues étaient en feu et Kakashi ne frappait pas que les joues. Quelques minutes plus tard, Kurenai rentra suivie de Tsunade. Tsunade fut horrifié en voyant Keiko volé dans tous les sens, ou alors, par terre en train de prendre des baffes. Elle se mit devant Keiko et éjecta Kakashi, ce qui lui fit reprendre ses esprits. Elle se retourna et aida Keiko à se relever, elle voyait bien que Keiko ne retenait ses larmes que pour la règle des ninja (ne jamais montrer ses sentiments). Keiko faillit s’écrouler mais Tsunade la soutenait. Kurenai aidait Kakashi à se relever bien qu’il n’en n’avait pas besoin d’aide. Il s’approcha de Keiko et de Tsunade, suivit par Kurenai: - Qu’est-ce qui t’a pris?, demanda Tsunade. - C’est rien, tu peux partir, répondit Kakashi. - On ne tape pas sa fille, comme ça, pour rien! - Ce qu’elle a fait, m’est personnel! - Je te rappelle que je suis ta mère donc tu peux tout me dire!…Je vois, elle t’a vu tout nu! -…, fit Keiko étonné qu’elle devine si vite. Tsunade sourit et se mit à rigoler: - Tu t ‘énerve facilement, Kakashi! Bon je vous laisse! Tsunade partit et quand elle la lâcha, Keiko faillit tomber mais elle fut retenu par Kakashi. Quand elle se rendit compte qui la tenait, elle prit peur: - Ne t’inquiète pas, dit Kakashi, je ne recommencerai pas! -…, dit Keiko qui était étonné du changement brutale d’humeur de son père. - Je suis désolé, Keiko, dit Kakashi en souriant, j’aurai dû t’écouter avant de te taper! Nezumi arriva en se tenant la tête: - Papa, comme tu l’as dit, écoute avant de frapper! J’ai une migraine pas possible maintenant! Kakashi sourit: - Keiko, dis-moi, pourquoi tu es entré sans frappé dans ma chambre? - Je voulais te parler au sujet de…, commença Keiko -…pourquoi tu as dit à maman ce qui concernait Keiko?, finit Nezumi. - Il fallait bien qu’elle soit au courant…, dit Kakashi. - Quoi?, cria Nezumi, c’était… - Du calmes Nezumi, dit Keiko, c’est pas grave, car maintenant c’est notre mère, hein? Maman! Kurenai sourit et prit Keiko dans ses bras: - Merci, Keiko! - De rien!
Pansa: mettre des bandages ou/et des pansements
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